lundi 31 mars 2014

Marcel Brun sur la "Flipped Classroom"

Je me suis un peu fait violence pour écouter cette vidéo jusqu'au bout. Eh bien oui, pour qui travaille dans les technologies de l'apprentissage depuis au-delà de 12 années, sans vouloir jouer au finaud, il n'y a rien là de très nouveau ni révélateur. Mais il faut parfois chercher à écouter de manière différente et à dégager un point de vue au départ des bribes qui nous parlent, et c'est ce que j'ai essayé de faire pour cette activité #CLOM-REL_5M1A2.

La pédagogie inversée se résume donc à inciter l'apprenant, par le biais d'activités diverses, engageantes et interactives, à consulter lui-même et en avance de la leçon le matériel qui sera discuté avec l'enseignant et les autres élèves durant la période de cours. J'ai toujours cru farouchement à cette idée et j'adhère à sa version réseautée dans Internet, le connectivisme, alors bravo: que l'enseignant utilise au mieux le temps qui lui est imparti pour engager les élèves, répondre à leurs questions, cheminer avec eux, etc.

Vidéo sur Khan Academy - FR
Géométrie, Cercles
Qui plus est, Marcel Brun apporte plusieurs points intéressants, comme l'idée de varier l'approche (progresser vers la pédagogie inversée et utiliser diverses méthodes de livraison plutôt que, par exemple, de toujours demander de regarder des vidéos, puis de faire des exercices avant la rencontre en classe). Autre bon point, la valeur limitée du logiciel de présentation genre PowerPoint si l'enseignant est pour livrer tout le contenu plutôt que de faire appel à la découverte guidée et à d'autres méthodes plus engageantes.

Je me suis par ailleurs souvenu, à regarder cette vidéo, d'une rencontre avec une enseignante de l'École Odyssée, ici à Moncton en février 2013 à l'occasion d'un atelier sur les REL organisé par l'OIF. Cette dernière, passionnée et novatrice, nous expliquait comment elle utilisait la vidéo pour faire de la pédagogie inversée. Ce qui m'avait davantage marqué dans son explication était l'idée d'enregistrer une seule et excellente prestation, bien organisée, bien livrée plutôt que de s'astreindre à répéter la même chose pour trois classes en une journée, sachant très bien que la qualité de la livraison diminue à mesure qu'avance la journée, que s'épivarde l'attention des élèves et que se multiplient les distractions. Donc réduire la répétition et le gaspille d'énergie pour s'employer à utiliser son temps de manière efficace. Un argument solide toujours aussi valable.

Mais terminons avec une objection à laquelle s'attaque avec raison M. Brun, et c'est l'idée que bien sûr voilà donc une excellente théorie, mais qu'en pratique les élèves et étudiants ne demandent pas mieux que de venir s'assoir pour se "faire remplir" le crâne et qu'ils ne finissent jamais justement par prendre le temps de faire les démarches et exercices prescrits pour qu'ait lieu l'échange espéré et le co-apprentissage. Comment rompre ce cycle? M. Brun raconte l'histoire d'un enseignant précurseur qui justement pratiquait sa conviction en n'enseignant qu'en réaction à ce que les élèves lui apportaient de la matière. Donc une entente tacite avec eux, lorsqu'ils comprennent qu'effectivement, la méthode n'est pas didactique de bas en haut, mais bel et bien dynamique de pairs à pairs. Pour justement
Arrêter de transmettre, tout est transmis!

Des objets d'apprentissage aux REL: une perspective des acteurs de la première heure

Comme je crois y avoir déjà fait allusion dans un billet de facilitateur, peu après le début du cours s'est posé tout à fait fortuitement sur la liste de discussion JISC OER la question de savoir quelle était la différence entre ce que les protagonistes nomment les "objets d'apprentissage réutilisables" et ce que l'on nomme aujourd'hui en français les "ressources éducatives libres".

Or cette question était tout à fait d'actualité pour le CLOM REL 2014 puisqu'on posait exactement la même en semaine deux (#CLOM_REL_Acquis). Il est intéressant de lire ce que les intéressés à la discussion avaient à en dire. D'autant plus intéressant qu'ils appuyaient leur réflexion de plusieurs références externes tout à fait pertinentes.

J'ai donc voulu capturer cette discussion pour notre cours en la traduisant car justement, les intervenants dans la discussion et les théoriciens cités dans leurs arguments sont au cœur du mouvement OAR -> REL.

Je m'en voudrais de ne transmettre qu'une transcription du débat sans m'efforcer d'en extraire un constat, à défaut d'une synthèse. À mes yeux, les arguments et réponses les plus significatives sont les suivantes:
  1. Pour plusieurs, les REL sont une extension naturelle des OAR et différentes surtout en termes de sémantique. Dans sa réponse à un billet de John Robertson, JohnR remarque toutefois une distinction technique importante qu’il décrit de la manière suivante:
    Les personnes complètement novices dans le domaine des OAR émettent souvent l'hypothèse que la publication de REL requière une banque de ressources, des métadonnées LOM et un encapsulage d’exportation au format IMS CP ou SCORM. Cette opinion découle de la lecture de documents remontant à l'âge d'or des «objets d'apprentissage» ou des conseils obtenus auprès de divers experts. Il s’agit sûrement là d’une approche technique valide, mais pas de la seule approche technique. Dans le cadre de la première ronde de UKOER, nous avons adopté la position opposée en nous efforçant de suggérer aux participants qu’il n’était pas nécessaire d’instaurer en premier lieu un répertoire d’objets d’apprentissage avant de distribuer des REL.
  2. Comme le mentionne Chris Pegler (v. traduction de la discussion),
    La principale différence [entre OAR et REL] est la licence libre. Ceci ouvrait la porte à la réutilisation - il n’y avait aucune exigence visant à ce que les objets d’apprentissage soient initialement gratuits pour la réutilisation, ni même faciles d’accès. (...) L'apport majeur des REL provient de la reconnaissance de cette volonté que les utilisateurs ne se contentent pas de simplement réutiliser, mais qu’ils remixent. S’il ne s’agit que de réutilisation, alors, à un niveau élémentaire, nous avons l’infrastructure pour cela.
    Ce à quoi acquiesce Peter Robinson qui écrit qu'
    En rétrospective, il n’y avait pas [à l'époque des objets d'apprentissage] un cadre de publication clairement établi à l’instar de Moocs/YouTube/Web/iTunesU/Wikipedia/Wordpress. Et il n’y avait pas cette discussion rigoureuse entourant le droit d’auteur/Creative Commons qui aide aujourd'hui les REL à fonctionner de manière plus pratique.
  3. Enfin, Amber Thomas dans une magnifique analyse touchant à la valeur économique des ressources d'enseignement, émet l'hypothèse que la "valeur" des REL ne se limite pas à leur mesure monétaire et qu'en réalité, une meilleure mesure de valeur pour les REL serait d'évaluer leur valeur d'utilisation après l'investissement monétaire initial. Ce qui nous mène tout droit à la discussion que nous aurons avec Sébastien Hache, en semaine 7.

Sondage CLOM  REL2014—mi-session


Nous vous invitons à participer à notre deuxième sondage CLOM
REL2014.

Le but du sondage est de recueillir des données démographiques, vos perceptions et vos attentes rendu à la mi-session dans le cours, et vos préférences en termes des outils et des ressources actuellement disponibles dans le CLOM REL pour faciliter vos apprentissages et assurer la qualité de votre expérience.

Votre participation est anonyme et volontaire. Pour plus d’informations sur le sondage, voir ici https://www.surveymonkey.com/s/CLOM_REL_2014_2

Merci!

vendredi 28 mars 2014

Critères d'évaluation pour déterminer la qualité d'une banque de REL

Katerina Zourou est chef du projet LangOER, un projet visant l'enseignement et l'apprentissage de langues minoritaires par le biais de REL et de pratiques éducatives libres.

Elle a porté à notre attention une étude intitulée Quality Assurance in the Open: An Evaluation of OER Repositories (2012). Cette étude visait à évaluer toute une gamme de banques de REL en vue d'en déterminer l'efficacité.

Pour ce faire, les auteurs ont dégagé 10 déterminants de qualité pour une banque de REL au départ de la littérature existante. Ils ont ensuite évalué 80 dépôts de ressources pour ensuite discuter de la prévalence de ces marqueurs de qualité et présenter un portrait global des initiatives de banques dans le contexte de leur mandat final d'éducation. Voici un extrait du sommaire de l'étude quant à ses conclusions:
Bien qu'il existe de nombreuses références dans la littérature REL quant à l'importance de ces caractéristiques pour la conception d’un dépôt, les initiatives existantes montrent des approches très hétérogènes, et certains indicateurs obtiennent une très faible incidence compte tenu de premier plan qu'ils jouent dans le soutien des objectifs du mouvement REL. La signification des différents indicateurs est considérée par rapport aux questions de chevauchement, de commodité et de durabilité, afin de proposer des orientations pour une enquête plus approfondie et, finalement, l'amélioration de ces dépôts importants.
J'ai tiré quelques extraits de l'original anglais si d'autres utilisateurs désiraient l'augmenter et j'ai traduit ces extraits, incluant les dix indicateurs de qualité, documents que je place en partage.

mercredi 26 mars 2014

Synthèse des résultats

Premier sondage CLOM REL: -Qui êtes-vous?

Nombre de répondants au sondage N=53
Majorité: féminin, n= 28 ( 54.90%)  
Majorité: 48 à 53 ans, n= 12 (22.64%)
Majorité: de l’Europe, n= 32 (61.54%)
Majorité: secteur éducation, n=42 (93.33%)
Majorité: on suivi aucun CLOM, n= 25 (51.02%)


Q7 Les trois raisons les plus populaires pour suivre le CLOM REL

Majorité: pour les outils technologiques, n=33 (66.35%
Vos attentes pour le CLOM REL 2014:
Vue nuage- analyse de texte- commentaires des répondents

Le mot (ou phrase) le plus important:
#1 Cours (n=9, 26.47%); #2 Partager (n=8, 23.53%); #3 Ressources (n=8, 23.53%); #4 Comprendre (n=6, 17.65%);  #5 Participer (n=6, 17.65%)
 
 Merci encore une fois pour votre participation au sondage!

 

mardi 25 mars 2014

En vrac

J'étais curieux ce matin de voir les écrits récents des participants au cours et, plutôt que de rechercher dans les archives du Bulletin quotidien ou les Blogues des participants, j'ai testé l'agrégateur Netvibes proposé par Brigitte Besnard. Soudainement, plutôt que de courir de clics en onglets et en écrans, je pouvais voir d'un coup d’œil qui avait écrit quoi récemment. Alleluia! Stephen Downes nous a d'ailleurs préparé une liste OPML qui sera automatiquement mise à jour avec les blogues de tous les participants au cours; il la partagera sous peu. En attendant, j'ai réuni cette information intitulée Ressources créées ou recommandées par les participants du CLOM REL dans un document Google. Je crois qu'il y aurait beaucoup à y ajouter, mais je voulais surtout m'en tenir aux outils qui viennent complémenter les fonctionnalités de la plateforme. N'hésitez pas à l'éditer!

Ce qui m'amène à l'objet de ce billet. En effet, j'étais curieux de voir qui a fait quoi récemment et, au hasard de mon exploration, j'ai trouvé quelques articles intéressants que je m'empresse de syndiquer ici, en quelque sorte... Dans un premier temps, j'ai bien aimé cet organisateur graphique représentant l'infrastructure des REL, une création de Sylvie Blain. Je remarque qu'elle y incorpore la logique des bases de données RDF, et je trouve cela superbe.

Lisant José Brito qui fait un retour intéressant sur la notion de liberté et de propriété intellectuelle dans l'analogue pour faire remarquer la prédominance du numérique dans notre considération des REL et en souligner les obstacles, je me disais "excellent point"! Car justement nous ne nous sommes pas rendus là où j'aurais aimé aller dans la recherche des REL et leurs banques. En effet, José parle de tous les obstacles politique, juridique et technique aux REL. Je me demandais moi-même quand nous allions entendre parler de nos amis canadiens des ministères d'Éducation du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario - pour ne citer que ceux dont je connais mieux la problématique - qui entretiennent de vastes banques de ressources scolaires auxquelles Internet est à toutes fins pratiques aveugles en raison du fait qu'elles sont protégées en Intranet ou par accès au seul personnel autorisé? La discussion ne s'est jamais rendue sur ce terrain: comment "ouvrir" ces écluses?

Le très prolifique Bruno Tison n'est certes pas inactif sur son blogue que je lisais avec intérêt en me disant qu'il s'agit là d'un véritable environnement personnel d'apprentissage! Bruno sera d'ailleurs heureux je crois de voir la liste OPML des blogues. Enfin, @L'école dont je ne trouve pas l'identité n'est pas de reste avec ses réflexions sur la nature d'une REL à ses yeux et le plongeon qu'il a fait dans les standards de description des ressources.

À vous tous qui écrivez, merci pour ce bel investissement dans vos connaissances. Et à tous ceux qui participent en lisant, je suggère l'utilisation de l'agrégateur de Mme Besnard pour vous faciliter la tâche, tout en recommandant de continuer, dans la mesure du possible, de commenter à travers le Bulletin quotidien ou ses Archives afin que les discussions soient centralisées dans la plateforme plutôt qu'éparpillées aux quatre vents de cette Francophonie globale!

vendredi 21 mars 2014

Dresser un tableau du paysage des répertoires francophones de REL

Claire de la Rochefoucault, d'Éducation et Numérique, nous a laissé savoir qu'elle avait validé la grille d'analyse des banques aujourd'hui (#CLOM_REL_Grille). J'y suis allé voir pour vérifier où nous en étions car je voulais m'assurer que l'information reçue durant la session synchrone de mercredi avait bien été notée. Je me souvenais en effet de l'explication détaillée que nous a offerte Manuel Majada au sujet du processeus d'indexation de la banque Unisciel et de la démonstration des fonctionalités de recherche dans CÉRES faite par Yves Munn, et je tenais à m'assurer que cette information de première main soit capturée dans le document synthèse.

Pour autant, je crois que tout a été consigné dans la grille, même si je n'ai pas procédé à un examen systématique: Claire y a apposé son sceau et je veillerai à ce que nos amis d'AbulÉdu, FuseSchool, CÉRES et Unisciel nous donnent leur approbation. Je suis tout de même un peu interloqué du peu de répercussions au sujet de ces autres grosses pointures dont nous n'avions pas vraiment encore parlé, et qui avaient été évoquées dans un billet précédent qui pointait vers la liste des répertoires établie par REFRER:
Y trouve-t-on satisfaction? La qualité est-elle au rendez-vous? Les ressources trouvées correspondent-elles aux attentes? Certaines de ces banques sont-elles trop limitées à des domaines spécifiques de la connaissance ou à un type de ressource particulier? Peut-être la recherche se présente-t-elle de manière trop compliquée? Quels sont les avantages de présenter une navigation en mode vitrine par défaut, comme a choisi de le faire AbulÉdu Data par exemple? Et, en bout de ligne, la grande question: quelle est la place des moteurs de recherche génériques comme Google ou spécialisés comme YouTube dans ce paysage du prêt-à-rechercher que nous examinons? Les enseignants s'y tourneront-ils encore par réflexe et confort? Il y a certes là beaucoup à discuter!

mardi 18 mars 2014

Créer un parcours d’apprentissage simple avec É & N

Voici un exercice de découverte qui nous est proposé par Éducation & Numérique pour explorer l'outil d'édition scolaire mis à la disposition des enseignants. Cet outil présente un intérêt dans nos activités cette semaine car il ajoute un rôle à celui habituel de l'utilisateur de REL, à savoir celui du créateur.

Ainsi, la chaîne de travail qui pourrait être la-vôtre change-t-elle substantiellement. Vous êtes maintenant Auteur, avec sa propriété intellectuelle. Vous devriez choisir une licence (nous en parlerons en semaine 4) et ensuite voir comment vous mettez votre ressource à la disposition d'autrui, qu'il s'agisse de collègues ou du grand public. Vous voudrez sans doute vous associer avec un dépôt de ressources qui mettra votre REL en valeur et permettra aux utilisateurs de la découvrir d'abord et de l'utiliser à bon escient ensuite.

Dépendamment du dépôt choisi, on vous demandera peut-être de décrire ("baliser") votre ressource? On vous dira peut-être qu'elle doit être approuvée par un comité? Toutes sortes de nouvelles possibilités auxquelles nous vous invitons à réfléchir.

Mais pour commencer, allons-y avec la création d'une ressource, un guide offert par Claire De La Rochefoucault que nous vous invitons à rencontrer mercredi, le 19 mars, avec nos autres panélistes.
Objectif du parcours : Découvrir l'article de presse en français en 3e (ou au choix du participant)
Déroulement :
Étape 1. Inscrivez-vous sur Éducation & Numérique et activez votre compte (vous recevrez un code de validation dans votre messagerie).
Étape 2. Cliquez sur "Créez une activité".
Étape 3. Indexez votre parcours dans la page "Informations" (Titre de l'activité, Matière, Niveau, Programme, Durée, Difficulté, Description).
Étape 4. Ajoutez une page simple pour présenter votre parcours à vos apprenants (objectif, etc.) : donnez lui un titre, insérez une vidéo, une image, ou un texte de votre choix.
Étape 5. Ajoutez une page de quiz : donnez-lui un titre, écrivez une consigne, puis écrivez une question et trois propositions de réponses.
Étape 6. Ajoutez une page de texte à trous : donnez-lui un titre, écrivez une consigne, puis insérer un petit texte, sur lequel vous pourrez faire des trous.
Étape 7. Ajoutez une page de glisser-déposer : donnez-lui un titre, écrivez une consigne, puis associez des mots à des images.
Étape 8. Ajoutez une page simple : donnez-lui le titre "Crédits et mentions légales" et précisez les droits d'utilisation des médias utilisés dans votre parcours.
Ressources :
La chaîne YouTube de l'Association contenant des tutoriels
L'accès direct à l'outil d'édition

vendredi 14 mars 2014

Approche suggérée pour interagir dans ce CLOM

Nous avons reçu beaucoup de commentaires concernant la difficulté de se retrouver dans le fourmillement d'information de ce cours. Bien sûr, il y a les interactions sur les médias sociaux. Mais en plus, il y la plateforme qui réunit les billets des participants et le bulletin de nouvelles qui les ramène au premier plan, par courriel, pour permettre aux autres participants de commenter quant aux articles de  leurs collègues.On nous a fait remarquer, avec raison, que le flux de travail au départ du menu Blogues des participants est loin d'être idéal.

Aujourd'hui, nous avons eu une discussion intéressante avec Sylvie Blain, professeure à la faculté des sciences de l'Éducation de l'Université de Moncton. Mme Blain nous suggérait d'utiliser des référents connus des participants et d'être plus congruents avec nos objectifs de cours. Elle suggérait également des aménagements à la présentation des contenus pour tenir compte de principes pédagogiques bien connus. Elle a promis d'écrire à ce sujet et la rencontre s'est avérée très intéressante.

Il est clair que Mme Blain comme la majorité des participants partage cette passion de l'apprentissage et de la formation continue avec une carrière à temps plein et sa vie personnelle. Il faut donc que  nous soyons en mesure de suggérer non pas un parcours pédagogique, mais plutôt une méthode pour approcher les contenus, méthode qui découle de la situation particulière de ce CLOM.

Pour commencer, nous avons 11 intervenants bénévoles, chacun avec leur contenu et leur approche. Nous leur avons proposé une méthode de travail, mais en bout de ligne, chacun d'entre eux y investit selon sa personnalité et ses motivations. Gilbert Paquette a été le seul à enregistrer sa présentation avant la semaine et nous avons pu référer les activités d'apprentissage à des segments précis de sa présentation découpée en diapositives. Les autre intervenants, à l'exception des panélistes de la semaine 3, ont fourni des contenus et des activités qu'ils rythment pour coïncider avec leur intervention du mercredi.

L'une des considérations clés offertes aux intervenants pour guider leur écriture de contenus a été de leur demander de proposer différentes activités de découvertes aux participants, ces derniers choisissant en fonction de leurs intérêts et effectuant un rendu en conséquence, dans le média de leur choix. La semaine 2 illustre bien ce principe: trois activités, chacune précédée d'une mise en contexte; suggestion ensuite d'un menu d'activités de découvertes au gré des intérêts et des disponibilités des participants, chacune assortie de propositions de rendu pour le bénéfice des autres participants et dans le but d'engager la conversation.

Enfin, la dernière considération qu'il importe de souligner ici est l'approche par pédagogie inversée. En effet, nous présumons que, les contenus et activités étant disponibles à l'avance, les participants auront fait un minimum d'exploration et de prise de connaissance avant de se présenter à la rencontre synchrone avec l'expert invité. Même si ce souhait procède d'une certaine utopie (car nous connaissons la nature humaine et sa propension à la procrastination, sans parler du conditionnement dont la majorité d'entre nous avons été victimes à l'école et qui consiste trop souvent à se présenter au cours pour se faire infuser par le verbe - parfois augmenté de quelques exercices - l'apprentissage visé), il n'en demeure pas moins que nous osons rêver de participants curieux, qui explorent avant de rencontrer l'expert, voire même qui forment des opinions et prennent connaissance de celles des autres. Nous sommes donc des idéalistes qui rêvent de pédagogie inversée dans un environnement connectiviste.

En conséquence, voici la méthode de travail que nous recommandons. Dès le lundi, prenez connaissance du nouveau contenu de semaine qui vient d'être dévoilé. Celui-ci se trouve dans l'élément de menu qui porte le numéro et le titre de la semaine, en marge de gauche. La section Introduction, en haut des menus de gauche, est l'introduction au cours. Vous devriez en avoir pris connaissance dès votre inscription pour découvrir dans cette section le cursus proposé (dans Calendrier), rencontrer les experts, lire les objectifs du cours et prendre connaissance du fonctionnement proposé.

Exemple de contenu pour la semaine 2

Lisez donc l'introduction de la semaine, regardez la vidéo produite par l'expert invité (sauf pour les semaines 1 à 3 pour lesquelles nous nous sommes chargés de la produire) et prenez connaissance des objectifs pour la semaine. Vous devriez ensuite effectuer un survol des activités proposées pour prévoir avoir déjà pris contact avec la matière avant la rencontre du mercredi avec l'expert invité. Réagissez aux activités de découverte en écrivant dans votre blogue (que vous aurez abonné à la plateforme au préalable). Vos contributions seront publiées dans le Bulletin quotidien si vous avez pris soin d'utiliser le mot-dièse #CLOM_REL conformément aux instructions de la semaine 1.

Les autres participants pourront vous lire et réagir à votre travail. Faites-en de même pour eux. Les discussions ainsi engagées seront disponibles dans les sections Discussion de la plateforme et du Bulletin quotidien. De manière générale, vous devriez ainsi pouvoir vous contenter de travailler avec les contenus de semaines, votre blogue et le Bulletin de nouvelles, sans trop vous soucier des autres menus de la plateforme, car ceux-ci reproduisent essentiellement les fonctions du Bulletin. N'hésitez pas à nous contacter en cas de difficultés à l'adresse courriel soutien@rel2014.mooc.ca. Et alimentez les médias sociaux si vous en trouvez le temps en utilisant notre mot-dièse #CLOM_REL (v. la page Contactez-nous pour les liens vers nos médias sociaux).

jeudi 13 mars 2014

De brique et mortier, gratuité et granularité: la discussion est bien engagée

J'ai eu beaucoup de plaisir à lire les compte rendus qui ont vu le jour en réponse aux activités de la semaine. André Cotte et José Brito se sont avérés particulièrement prolifiques récemment, autant dans leurs commentaires sur notre site que dans leurs propres carnets de blogue.

On ne saurait trop renforcer cette approche de la participation "chez soi" qui permet de référencer le site du cours, ses REL comme les vidéos de rencontres avec les experts, tout en conservant par devers soi ses propres réflexions et écrits, en une forme de portfolio en ligne.

La force de la plateforme, si elle fonctionnait comme le veut la réclame, serait de réunir ces conversations en un lieu commun pour réflexion et discussion au sein d'une communauté animée par une même cause. Pour l'idée, elle demeure ma foi géniale. C'est à l'opérationalisation que le bât blesse, mais je ne perds pas espoir qu'un jour, prochain?, ces tribulations seront corrigées.

En attendant, merci pour vos commentaires à tous. J'en retiens que le Bulletin de nouvelles quotidiennes continue de faire son bon office. J'en veux pour preuve la réflexion de Mr Balan que je découvre pour la première fois aujourd'hui. À vous tous qui vous intéressez à cette question importante et à tous les autres aussi qui ont débuté leur participation, écrit dans leurs blogues et contribué dans les bulletins précédents, je dis Bravo: en effet, vous êtes les principaux bénéficiaires de cette démarche!

"Vanitas" Still Life, by Adam Bernaert (Netherlands, circa 1665). Walters Art Museum, Wikimedia Commons
Ce qui m'amène à commenter au passage sur les billets qui nous ont été offerts récemment. La réflexion de José au sujet du changement de paradigme, du stock au flux (j'avoue que ma culture nord-américaine obscurcit un tant soit peu ma compréhension du mot stock, mais à lire je m'y suis retrouvé), m'a tout à fait interpellé. J'y ai retrouvé une perspective européenne qui éclaire des aspects ignorés ici, en particulier celui de la gratuité. En effet, imaginez que l'année de baccalauréat de mon aînée me revient à 14,600 euros, et vous comprendrez mon abasourdissement à ce concept de gratuité en Europe! Dans ce contexte, les REL peuvent en effet paraître moins séduisantes pour nos cousins européens qui y voient d'abord une ouverture à l'accès, alors que chez nous on y ajoute la gratuité. Très intéressante réflexion.

L'autre interpellation m'est venue d'André qui décrit la manière dont Carrefour éducation établit sa veille de REL et à la méthode de description qu'ils ont établie pour palier l'absence de documentaliste. Cela m'amène à un point important dont il n'a peu ou prou été question, celui de la granularité des REL. André mentionne que leur veille référence des sites Web. Or nous avons peu parlé de la définition d'une REL comme telle. Dans cette définition, la taille de la ressource, i.e. sa granularité - on peut penser à deux extrèmes: de l'image au cours entier - a déjà occupé une place critique. Aujourd'hui, on en vient à considérer une initiative comme ce CLOM comme une REL, et à juste titre d'ailleurs, pour autant que ses droits d'utilisation soient correctement décrits.

Pourtant nous verrons dans notre exploration des banques et référentiels la semaine prochaine que justement cette question de la granularité joue un rôle clé sur le potentiel de réutilisation d'une ressource. Le théorème veut que plus la granularité est grande, plus la réutilisation est difficile. Il est permis de croire que cette axiome est remis en question dans un Web de données liées contrôlé par l'omniprésent et Tout puissant Google par exemple, chez qui résident nos vidéos et nos photos... à tort ou à raison.

Comme l'écrivait si bien Mr Balan donc, ce n'est pas demain que se régleront ces questions!

mardi 11 mars 2014

Sondage CLOM REL2014

Sondage CLOM  REL2014-Qui êtes-vous?

Nous vous invitons à participer au premier sondage CLOM REL2014. Votre participation est anonyme et volontaire. Pour plus d’informations sur le sondage, voir ici https://www.surveymonkey.com/s/CLOM_REL_2014_1

lundi 10 mars 2014

Objectifs de recherche CLOM REL2014:

Le projet de recherche CLOM REL2014 a été approuvé dans le cadre des activités relevant du programme de Système d’aide à l'apprentissage et au rendement (SAAR) du Conseil national de recherches. L'objectif de la recherche est de recueillir des informations anonymes de base sur les participants dans un Cours en ligne ouvert et massif (CLOM), y compris les données démographiques, l'expérience dans des CLOM précédentes et avec divers outils et médias sociaux, les facteurs de motivations pour suivre le cours, et ce que les participants s'attendent du cours. Cette information aidera à informer le CLOM style-connectiviste courant et d'améliorer la conception technique et pédagogique des CLOM futurs possiblement. Nous vous tiendrons informés des résultats de recherche tout au long du cours.

Publications de recherche précédentes—libre accès :

S'organiser pour créer des retombées durables

Ça y est, la semaine 2 est lancée, les contenus et suggestions d'activités sont en ligne et nous attendons avec enthousiasme de constater l'accueil qui sera fait à cette première proposition, ainsi que les contributions qui seront apportées par les participants sous forme de billets ou autres (en effet, nous ajouterons le flux Twitter sous peu au Bulletin de nouvelles).

Que faire en attendant? Eh bien visiter les médias sociaux, pardi! J'y ai d'ailleurs trouvé des choses intéressantes. Sur Facebook, c'était Sylvie Blain hier qui explorait la notion de connectivisme à la base de la présente formule de cours. Et puis Jules Randolph a suscité des commentaires polarisés avec sa quête d'une école nouvelle, et ce autant dans son blogue que sur notre communauté Google+. Et que dire des réponses au commentaire d'Éric Seigne et de l'explosion de discussions qui s'en est suivie sur la question des outils?

Mais surtout, c'est au départ du Bulletin de nouvelles quotidiennes que nous avons pris plaisir à lire l'appareillage de tous ces blogues vers la Mer des REL. De beaux témoignages, des participations assidues, et des réflexions actives, il y en a pour tous les goûts!

J'aimerais terminer en suggérant que tout le monde pense à commenter sur les médias sociaux et à partir du Bulletin de nouvelles, pour que les commentaires soient rassemblés dans la plateforme, sinon les discussions éclatent en tous sens et deviennent difficiles à suivre. Prochaine étape: l'organisation collective pour répondre aux tâches suggérées dans les activités des semaines à venir. N'hésitez donc pas à utiliser des médias ouverts pour organiser des réponses collectives qui peuvent se réunir par intérêts, localisation ou autres!

vendredi 7 mars 2014

Mes objectifs pour REL 2014

Tout d'abord, de mes motivations à diriger l'aspect gestion/production de ce projet, motivations qui découlent d'un intérêt de longue date dans les REL. À un certain niveau, je suis un collectionneur/catalogueur. Mes centres d'intérêt sont le septième art, la littérature et la musique. Dans ces domaines, je collectionne les titres et les oeuvres. Parallèlement, ma vie intellectuelle est constamment alimentée par mon régime d'exercice d'endurance et lorsque les endorphines se mélangent à la stimulation intellectuelle, par exemple à la lecture d'un article intéressant dans mon fidèle Globe and Mail, alors l'esprit s'envole et plus rien n'est impossible.

À ce titre, les REL constituent un champ de connaissance et de pratique très près de ces penchants naturels. Une REL peut être une oeuvre écrite, une animation permettant de découvrir un fait historique, un collectif de médias image-texte-vidéo-conception pédagogique qui forme un tout cohérent ou même simplement une image, bref la liste est infinie. Or lorsqu'on en croise une d'intérêt, on aimerait la cataloguer ou à tout le moins la ranger à quelque part où on pourrait la retrouver. Et que dire de ces outils intéressants, de ces listes exhaustives établies par quelque passionné de son sujet et de tous ces écrits et autres productions de l'esprit qu'on sème derrière soi comme autant de témoins de nos passions? On voudrait les conserver, les retrouver, non? Comme autant de photos dans un album de famille...

Voilà donc ce qui me passionne dans les REL. Cet amalgame d'esprit, de savoir, de connaissance, de catalogue, d'architecture technique, tous si près d'ailleurs du domaine de la bibliothéconomie. Pour quelqu'un qui aime le livre, l'association est positivement stimulante. Et donc, de ce grand détour, quels seraient mes objectifs pour le présent cours (#clom_rel_objectif)? Je n'en citerai qu'un, m'en réservant d'autres pour plus tard. En effet, depuis que nous avons entamé ce projet, je collectionne les références, les médias d'intérêt, les outils, les exemples dans autant d'endroits désordonnés comme des cartes mentales, des articles de blogue et des listes Google. Maladroit et désordonné tout cela.

Photo de Gaston Bessette-Photographie, WordPress
Or comme le nouveau Réseau francophone de ressources éducatives réutilisables (REFRER) de Gilbert Paquette et aussi le répertoire CERES de la Vitrine Technologies-Éducation je crois (référence à dévoiler en semaine 3), la tendance depuis plusieurs années est aux données liées qui, tout comme la norme MLR de métadonnées pour les ressources, reposent sur le standard RDF. Le Resource Description Framework est un système de description sémantique qui repose sur les triplets sujet-verbe-complément, chacune de ces entité étant sauvegardée en lien avec les autres. C'est un système de base de données excessivement puissant qui semble opérer par magie.

Il y a longtemps que cette idée me guette et j'en profite donc pour me jeter à l'eau avec mon souhait. Je crois que la communauté de ce CLOM REL devrait se doter d'un référentiel universel de ressources francophones liées à la question des REL, organisé en données liées RDF, et qui ferait office à la fois de veille technologique, bulletin de nouvelles et archives de notre connaissance et de nos acquis en la matière.

Libre, ouvert, gratuit dans le logiciel: Questions, réponses et quatre libertés fondamentales

La place du logiciel libre dans le paysage législatif québécois: Laurent Bounin trace un bref historique des récents acquis et examine les questions les plus fréquemment posées. Beaucoup de ces distinctions sont les mêmes en ce qui touche aux ressources éducatives libres, comme nous le verrons en semaine 4 avec Isabelle Ramade, coordonnatrice éducation pour Creative Commons France. (#clom_rel)
- Tiré de la liste de distribution Open Knowledge Foundation - Francophone

jeudi 6 mars 2014

Un départ de #CLOM_REL positif!

On se demandera pourquoi la retenue relative du qualificatif sur ce titre: pourquoi pas « splendide » « spectaculaire »  ou, plus sobrement « réussi »? C'est que, pour moi qui suis un tant soit peu perfectionniste, je ne puis ignorer les avanies de la sauterelle qui, malgré nos cajolements, nos suppliques et nos menaces, demeure réfractaire au fonctionnement promis. [Pour ceux qui s'interrogent la sauterelle = gRSShopper]. Car ce ne sont pas les plateformes qui manquent, mais celle-ci a l'avantage merveilleux de syndiquer les gens et de leur permettre de conserver leurs œuvres par-devers eux tout en en offrant une instance dans la plateforme, pour discussion centralisée. Mais voilà que la réclame dépasse la réalité et que tout n'est pas (ou plutôt « pas encore », souhaitons-le) pour le mieux dans le meilleur des mondes.

J'épargnerai donc les détails pour dire que nous observons encore de nombreuses erreurs dans la plateforme, erreurs que nous nous efforçons de corriger. Je soulèverai ici les deux plus importantes d'entre elles. Dans un premier temps, nous avons recensé 17 blogues qui ne semblent pas moissonnés sur les quelques cinquante inscrits (je viens de passer plusieurs heures à les examiner attentivement et j'ai pu en réparer quelques-uns, ceux qui avaient simplement une mauvaise url de rss). Ceci est dû au moissonneur qui a été écrit il y a quelques lunes de cela et qui, rencontrant des erreurs imprévues, n'arrive tout simplement pas à syndiquer certains de ces blogues. Si, à la page Blogues des participants, après avoir cliqué sur le titre de votre blogue vous ne voyez aucun article dans la page, cela est sans doute un résultat de cette erreur. En attendant que nous puissions régler le problème je vous enjoins de nous écrire pour nous donner l'URL d'un article qui n'a pas été syndiqué, et nous nous engageons à le poster pour vous (à la différence qu'il apparaîtra dans la section Billets des facilitateurs).

La seconde erreur d'importance est aussi à partir de la page Blogues des participants. Il semble en ce moment que tous les articles de vos blogues soient syndiqués, et non seulement ceux qui contiennent le mot-dièse recherché (#clom_rel). Cette seconde erreur devrait être plus aisément/rapidement réglée. Alors pourquoi parler d'un début « positif » au cours? Eh bien, n'oublions pas que nous avons près de 1000 inscriptions dix jours à peine après l'annonce du cours, ce qui n'est vraiment pas si mal. Sur les 1000 inscriptions, nous avons eu 35 participations à la session synchrone et près de 50 blogues inscrits, avec de nombreuses contributions de toutes sortes.

Surtout, les choses s'annoncent bien pour les prochaines semaines avec un engagement hors pair de la part de nos experts pour vous offrir des contenus, réflexions et rencontres qui promettent d'alimenter des discussions et apprentissages tout à fait stimulants. Déjà, plusieurs personnes ont commenté sur la question posée par Éric Seigne de Ryxéo au sujet de l'utilisation de Hangouts et des outils Google. Vous pourriez normalement suivre cette discussion dans la page à cet effet, mais par un capricieux hasard, il se trouve que les personnes qui en ont parlé dans leurs articles ont toutes subi la magie noire de ne pas être syndiqués. Alors je réparerai cette faute par un billet de facilitateur distinct.

mercredi 5 mars 2014

Le nouveau site de Ryxéo est maintenant en ligne


Il nous fait plaisir d'annoncer la disponibilité du nouveau site de Ryxéo, nos partenaires de semaine 3.

Ryxéo est le père d'AbulÉdu Data, une bibliothèque numérique de ressources éducatives francophones, forte de plus de 15 000 références, libres et adaptées au quotidien des enseignants.

Nous vous invitons à découvrir le répertoire en attendant le début de cette troisième semaine à laquelle participera Philippe Cadaugade, à titre de panéliste représentant AbulÉdu Data.

Compte rendu de la première rencontre synchrone du CLOM REL 2014

Stephen Downes a démontré les outils le fonctionnement de la plateforme gRSShopper, en insistant particulièrement sur la manière, pour les différentes plateformes de blogue, de trouver l'URL du fil RSS et de la transmettre à gRSShopper afin que les contenus des participants soient syndiqués.

Les participants ont créé un document collaboratif qui résume bien la rencontre, d'un point de vue technique. Pour ma part, j'ai été dérouté de lire les questions des participants sans pouvoir y répondre par écrit. Nous avons pris la balle au bond en relayant les questions et en y répondant du mieux que nous pouvions. Quelques-uns de ces commentaires avaient trait à la qualité du son qui coupait. Un collègue m'a fait remarquer après coup qu'on pouvait aisément régler la qualité de l'image et du son en ajustant ses paramètres de la conférence, en bas et à droite de l'écran:


L'enregistrement de la rencontre est disponible sur YouTube et il est déjà intégré dans la page de rencontre virtuelle de notre cours. Pour faire le point, nous avons 912 participants inscrits à l'heure actuelle, et 35 personnes ont participé à la conférence. Rendez-vous live la semaine prochaine seulement, puisqu'il n'y aura pas de sommaire ce vendredi. Merci à tous pour votre participation, et merci d'avoir relayé l'événement dans les médias sociaux pour ceux qui n'ont pas pu participer!

mardi 4 mars 2014

Première session synchrone pour REL 2014

C’est le mercredi 5 mars, à 13 h, heure du Canada Atlantique, soit 18 h, heure de Paris; 12 h (midi), heure de Montréal; 17 h, heure de Casablanca; et 20 h, heure de Nairobi qu’aura lieu notre première session live dans Hangouts On Air (conférence Web synchrone).

Tout ce dont vous aurez besoin, à titre de participant, est une connexion Internet, des haut-parleurs ou écouteurs pour entendre la conversation et un clavier pour interagir. M. Stephen Downes, chef du projet REL 2014, y présentera l’ABC de notre cours REL 2014.

Il abordera la manière d’abonner votre flux RSS au cours, les différents outils qui peuvent être syndiqués avec notre plateforme gRSShopper pour que les autres participants vous lisent/voient/entendent, et les différentes manières de contribuer et participer à ce cours.

La séance sera enregistrée, pour ceux qui ne seraient pas en mesure d’y participer. Vous la retrouverez dans la plateforme dès qu’elle sera prête.

Pour participer, rendez-vous, au moment prévu, sur la page de rencontre virtuelle du cours. Vous y trouverez l’URL de connexion qu’il vous suffira de saisir dans votre fureteur pour être connecté(e) à la conférence. Au plaisir de vous rencontrer en ligne!