mercredi 9 avril 2014

Re: Des RÉL partout, ou d’abord dans l’enseignement public ? 2/3

J'essayais de commenter dans notre plateforme sur un billet de José, mais mon commentaire a été "bouffé". Je le reprends donc ci-dessous, dans l'attente d'une réparation de ce bogue.

Merci pour cette réflexion-fleuve qui couvre maints sujets et remonte à plusieurs grands accords du passé pour tenter de faire le point. J'ai lu le tout attentivement et il y aurait lieu de faire plusieurs commentaires et clarifications, mais d'expérience je sais que cela ne ferait que nous embrouiller. L'important à mon sens est la démarche de réflexion et la recherche de solution, ces deux éléments étant vastement démontrés par cet article.

Sans ordre précis, quelques points néanmoins:
  • Je crois que la plate-forme de ressources de l'OIF est en fait celle de l'Unesco qui relève davantage d'un répertoire de publications dans cette forme, mais qui s'est également aventurée dans les REL avec une initiative telle que celle-ci. À ce que je sache, l'OIF n'a pas de plateforme REL, mais je demande à être renseigné!
  • À mon sens, il faut faire attention avant de citer des définitions de libre accès comme celles de Berlin qui datent de 2003. Beaucoup d'eau a coulé sous les ponts depuis, particulièrement dans cet univers des technologies qui évolue à toute vitesse, et il vaut mieux nous référer à des sources plus récentes comme justement les références de Mme Ramade en semaine 4 dont sa présentation à Unisciel et son chapitre dans Histoire du libre qui sont beaucoup plus précises.
  • Je pense par ailleurs qu'avant de nous engager dans la voie de solutions et diverses avenues de travail, il convient de prendre connaissance des nombreuses et vastes expériences/contributions qui existent de par la Francophonie. Certaines d'entre elles sont publiques et visibles comme l'initiative de la Khan Academy que j'ai déjà citée et que ce cours s'efforce de dégager, mais tellement d'autres sont invisibles comme les REL que le GTA de l'Université de Moncton a développées pour des clients comme le ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick et celles que CFORP développe pour le ministère de l'Éducation de l'Ontario, REL qui sont bloquées d'accès mais qu'il conviendrait de libérer.

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