J'ai suivi aujourd'hui une conférence en ligne parrainée par Creative Commons. Cable Green a présenté Brian Jacobs et son équipe qui ont fait une démonstration de panOpen.
Il s'agissait surtout de faire connaître ce modèle d'affaires particulier et d'aider les REL à devenir plus communes dans l'enseignement. Brian et son équipe ont expliqué comment ils ont validé une trentaine de publications libres, avec une équipe académique, pour les ajouter à la librairie de RELs de panOpen; 5,000 questions quiz ont été générées à partir de ces livres de cours.
La plateforme est maintenant live depuis la mi-avril et on peut voir les œuvres dans la collection, quelles institutions et professeurs les utilisent, ainsi que des évaluations par les utilisateurs en réponse à trois questions. Je ne suis pas certain, mais je crois qu'on peut lire le livre en s'inscrivant à la plateforme, à explorer.
Quiconque peut donc utiliser panOpen pour se créer une collection en y ajoutant des titres, mais surtout l'intérêt étant que les utilisateurs peuvent modifier les œuvres à volonté. Le modèle d'affaires semble assez complexe pourtant (et il demeure obscur dans les détails), chacun recevant apparemment des royautés à commencer par les détenteurs de paternité en allant jusqu'à l'institution, sans oublier bien sûr panOpen.
J'espérais que la conférence aurait été enregistrée, mais cela ne semble pas être le cas. Qu'à cela ne tienne, voici les notes de rencontres (en anglais) avec une liste de questions/réponses, pour ceux qui seraient intéressés.
jeudi 22 mai 2014
Aliboron, un travail de persévérance (#CLOM_REL_Constats)
José Brito signe et persiste. Il a voulu relever le défi d'assurer un suivi à l'initiative du CLOM REL 2014 et, de sa propre initiative, il a bricolé un environnement de suivi sur une plateforme Drupal, le tout hébergé chez aliboron.org.
J'ai trouvé l'initiative louable au début, mais j'avais peu d'espoirs de voir s'épanouir cette envolée. Voilà toutefois que José confond les sceptiques par son travail de fourmi, à recenser les sources, rassembler les apôtres et leurs œuvres, structurer un environnement cohérent.
En bout de ligne, ce "lieu" créé par José est bien articulé et constitue à mon avis l'un des pôles que nous aimerions voir se dessiner dans la communauté francophone des REL. Les causes ont tendance à s'y confondre. En effet, comme pour REL 2014, il n'est pas évident de dissocier les ressources elles-mêmes de la plus grande cause du libre - et c'est d'ailleurs là ce qui motive davantage bon nombre de participants, à mon avis. Se greffent en particulier à cette famille d'affinités: le logiciel libre, le libre accès au sens anglo-saxon des répertoires de publications scientifiques ("Open Archive"), les licences libres (Creative Commons) et, bien sûr, les pratiques éducatives libres.
J'aimerais conclure sur un idéal que j'avais en débutant ce projet de CLOM, celui de voir se dessiner un portrait global des communautés du REL. J'imaginais un graphe de graphes où, comme dans un réseau de neurones interconnectées, un individu possède différentes identités pertinentes à recenser au sujet des REL: professionnelle, spécialisation (REL), intérêts et sociale. Chacune de ces identités se traduit par sa participation à des travaux témoins, comme un blogue, une plateforme, des publications, un portfolio, etc. En bout de ligne, en vertu de cette information, on peut obtenir un portrait global de la diaspora REL francophone: personnes, lieux, médias, œuvres, communautés. Bref, et à nouveau, une illustration par graphe d'une base de données RDF qui pourrait ressembler à ceci (genre):
Pour n'y être pas parvenu, je lève d'autant mon chapeau à l'initiative de José que j'appuie. Et du coup, je me questionne sur la motivation à persévérer: qu'est-ce qui pousse tous ces participants assidus que nous avons retrouvés dans le cours à chaque jour mettre de côté leur quotidien et les incessantes interpellations médiatiques, publicitaires, sociales et autres pour attribuer du temps à un sujet en particulier? Cette question me fascine toujours.
J'ai trouvé l'initiative louable au début, mais j'avais peu d'espoirs de voir s'épanouir cette envolée. Voilà toutefois que José confond les sceptiques par son travail de fourmi, à recenser les sources, rassembler les apôtres et leurs œuvres, structurer un environnement cohérent.
En bout de ligne, ce "lieu" créé par José est bien articulé et constitue à mon avis l'un des pôles que nous aimerions voir se dessiner dans la communauté francophone des REL. Les causes ont tendance à s'y confondre. En effet, comme pour REL 2014, il n'est pas évident de dissocier les ressources elles-mêmes de la plus grande cause du libre - et c'est d'ailleurs là ce qui motive davantage bon nombre de participants, à mon avis. Se greffent en particulier à cette famille d'affinités: le logiciel libre, le libre accès au sens anglo-saxon des répertoires de publications scientifiques ("Open Archive"), les licences libres (Creative Commons) et, bien sûr, les pratiques éducatives libres.
J'aimerais conclure sur un idéal que j'avais en débutant ce projet de CLOM, celui de voir se dessiner un portrait global des communautés du REL. J'imaginais un graphe de graphes où, comme dans un réseau de neurones interconnectées, un individu possède différentes identités pertinentes à recenser au sujet des REL: professionnelle, spécialisation (REL), intérêts et sociale. Chacune de ces identités se traduit par sa participation à des travaux témoins, comme un blogue, une plateforme, des publications, un portfolio, etc. En bout de ligne, en vertu de cette information, on peut obtenir un portrait global de la diaspora REL francophone: personnes, lieux, médias, œuvres, communautés. Bref, et à nouveau, une illustration par graphe d'une base de données RDF qui pourrait ressembler à ceci (genre):
Source: Martin GrandJean, blogue Digital Humanities et Data Visualization |
vendredi 16 mai 2014
En soutien à l'éducation dans les pays en développement #clom_rel
#mim14 - Un atelier sur l'utilisation des données ouvertes intitulé Making it Matter avait lieu ce vendredi 15 mai, à Londres. Ainsi donc, j'étais en ligne à 6h AM, heure locale pour suivre l'atelier, une rare motivation pour moi.
Je crois que l'intérêt venait de ce que nos cousins anglo saxons sont tellement avancés en matière de ressources éducatives libres, particulièrement au Royaume-Uni, et donc que leurs débats et réalisations sont d'autant plus importants à suivre pour en tirer des pratiques exemplaires. Il importe toutefois de souligner que l'atelier portait davantage sur les données libres que les ressources comme telles, une distinction importante qui fait que mon principal centre d'intérêt n'a pas été assouvi. Mais qu'importe…
Qu'ai-je donc appris dans cette conférence? Tout d'abord, une superbe organisation pour les participants à distance grâce à une page dédiée à cet effet, page contenant non seulement toute l'information sur l'événement (url, mot-dièse #mim14, vidéo de l'événement, etherpad pour les conciliabules des groupes en ligne), mais même un formulaire de question, l'application de partage par médias sociaux (Like de Facebook, +1 de Google et Twitter), flux Twitter et information de contact.
Parlant de la technique, pour bien organisée qu'elle soit, cela n'a pas empêché les cafouillages, mais justement la régie impeccable a été en mesure de redresser la situation. Le tout était assez complexe avec la présentation des débats en salle par vidéo ruisselée en direct sur Hangout, la présentation de vidéos préenregistrées de la part de conférenciers qui n'avaient pu se déplacer, et même l'intervention synchrone d'autres présenteurs en ligne. Chose intéressante, c'est justement lorsqu'un de ces conférenciers à distance a cherché à partager sa présentation que l'événement a coupé, comme il nous arrivait avec le #CLOM_REL. Heureusement, après une dizaine de minutes de silence, l'atelier a pu de nouveau être ruisselé en direct.
Autrement, j'ai associé des gens à des initiatives. Marieke Guy - que je connaissais déjà par correspondance - à l'Open Education Workgroup. Pat Lockley @Solvonauts (moteur de recherche pour REL) et Steven Haggard à D2L (consultant pour la compagnie) aussi. Et surtout, l'excellent concentré d'outils et initiatives en données ouvertes et liées qui est rassemblé sur la page de concours du projet LinkedUp. Je me suis assuré de "regazouiller" les urls des présentations qui n'apparaissaient dès lors plus dans le flux Twitter #mim14, mais bien dans le-mien (@RobbieRobSki), comme celle-ci par exemple.
Je crois que l'intérêt venait de ce que nos cousins anglo saxons sont tellement avancés en matière de ressources éducatives libres, particulièrement au Royaume-Uni, et donc que leurs débats et réalisations sont d'autant plus importants à suivre pour en tirer des pratiques exemplaires. Il importe toutefois de souligner que l'atelier portait davantage sur les données libres que les ressources comme telles, une distinction importante qui fait que mon principal centre d'intérêt n'a pas été assouvi. Mais qu'importe…
Qu'ai-je donc appris dans cette conférence? Tout d'abord, une superbe organisation pour les participants à distance grâce à une page dédiée à cet effet, page contenant non seulement toute l'information sur l'événement (url, mot-dièse #mim14, vidéo de l'événement, etherpad pour les conciliabules des groupes en ligne), mais même un formulaire de question, l'application de partage par médias sociaux (Like de Facebook, +1 de Google et Twitter), flux Twitter et information de contact.
Parlant de la technique, pour bien organisée qu'elle soit, cela n'a pas empêché les cafouillages, mais justement la régie impeccable a été en mesure de redresser la situation. Le tout était assez complexe avec la présentation des débats en salle par vidéo ruisselée en direct sur Hangout, la présentation de vidéos préenregistrées de la part de conférenciers qui n'avaient pu se déplacer, et même l'intervention synchrone d'autres présenteurs en ligne. Chose intéressante, c'est justement lorsqu'un de ces conférenciers à distance a cherché à partager sa présentation que l'événement a coupé, comme il nous arrivait avec le #CLOM_REL. Heureusement, après une dizaine de minutes de silence, l'atelier a pu de nouveau être ruisselé en direct.
Autrement, j'ai associé des gens à des initiatives. Marieke Guy - que je connaissais déjà par correspondance - à l'Open Education Workgroup. Pat Lockley @Solvonauts (moteur de recherche pour REL) et Steven Haggard à D2L (consultant pour la compagnie) aussi. Et surtout, l'excellent concentré d'outils et initiatives en données ouvertes et liées qui est rassemblé sur la page de concours du projet LinkedUp. Je me suis assuré de "regazouiller" les urls des présentations qui n'apparaissaient dès lors plus dans le flux Twitter #mim14, mais bien dans le-mien (@RobbieRobSki), comme celle-ci par exemple.
mardi 6 mai 2014
La plateforme gRSShopper continuera son travail !
Je reproduis ici un commentaire que j'ai apporté en réponse à la discussion qui a lieu ici:
À noter que oui, la plateforme continuera son travail de syndication et donc quand vous postez avec le mot-dièse #clom_rel, votre article est ajouté à la liste des billets ayant trait au cours sous l'item de menu Participer => Blogues des participants.
Seulement que voilà, en l'absence du Bulletin, il n'y a pas moyen de savoir qui a récemment ajouté un article et alors il faut soit consulter chacun des blogues inscrits dans la page ci-haut mentionnée et essayer de déterminer s'il s'est ajouté un article, une méthode que personne ne voudra suivre, ou aller voir l'agrégateur créé par Brigitte Besnard et vérifier dans les billets récents lesquels concernent le CLOM REL - car dans cet agrégateur, tous les articles des blogues inscrits sont réunis, et non seulement les billets relatifs au REL 2014... Bref deux solutions peu pratiques.
Dans l'attente de la résolution de la question de la plateforme, je pense toutefois que l'annonce sur Twitter de tout billet publié relativement au cours fonctionnera parfaitement et permettra de retracer facilement tout ce qui s'écrit sur le sujet.
Il suffirait pour chacun de prendre l'habitude d'émettre un gazouillis à chaque fois qu'il ou elle écrit sur le sujet des RELs et pouf! - le tour est joué.
Je n'aborde pas pour l'instant ce qui pourrait être fait pour faciliter la découverte des ressources créées durant le cours, en sus bien sûr de ce que je suggérais dans un billet récent (voir le poste: Compiler, recommander, planifier). Je pense simplement que, comme le suggérait Stephen Downes durant la dernière rencontre synchrone, l'idée d'une autre plateforme pose tout une nouvelle série de défis: qui la développe (José Brito a entrepris ce tour de force, motivé par sa seule passion), combien de temps cette solution sera-t-elle maintenue, qui l'alimentera (sur la base du sondage, pour l'heure une dizaine de personnes se disent intéressées) et tout cela sans le bénéfice d'avoir constaté la convivialité de l'outil. Par exemple, est-ce que je veux abandonner l'archive publique de billets pour ce projet pour aller plutôt bloguer sur aliboron? Ce ne serait pas logique.
Donc pour l'instant, je dirais de ne pas trop nous emballer à créer des outils alternatifs (beaucoup d'investissement sans assurance que d'autres se joindront) sans le bénéfice d'un retour systématique qui pourrait être organisé autour d'un autre événement de l'OIF et auquel les experts du cours ainsi que certains participants pourraient être conviés.
lundi 5 mai 2014
panOpen: Un nouveau modèle d'affaires en éducation libre (#CLOM_REL_7)
Cable Green, directeur des initiatives de sensibilisation à l'importance de Creative Commons pour l'éducation libre (mon interprétation de son titre) annonce une discussion publique avec Brian Jacobs, le pdg de panOpen. Il qualifie cette initiative d'un exemple des nouveaux modèles d'affaires émergents dont nous discutions en semaine 7, avec Sébastien Hache.
Voici les détails de cette conférence Web en anglais, pour ceux que cela intéresse:
Voici les détails de cette conférence Web en anglais, pour ceux que cela intéresse:
Titre: Un modèle renouvelable pour les REL (A sustainable model for OER)
Date: 22 mai
Heure: Midi (Pacifique) / 15h00 (Est) / 19h00 (UTC)
Inscription: https://attendee.gotowebinar.com/register/914567533121475074Sommaire: Le Dr. Brian Jacobs, fondateur et directeur général de panOpen, dirigera une discussion portant sur la plateforme de REL récemment dévoilée par panOpen. Parmi les sujets abordés, mentionnons:
M. Jacobs fera une présentation pour la moitié du temps de conférence, le reste étant dévolu aux Q&R.
- Faire face au principaux défis rencontrés par le mouvement des REL aujourd'hui
- Notre réponse: un modèle renouvelable pour répondre à ces défis
- Idées pour s'impliquer dans les initiatives de REL de panOpen
jeudi 1 mai 2014
Que de richesses!
La semaine 8 s'est terminée sur la question de savoir s'il y avait lieu de poursuivre les échanges et le travail du CLOM REL 2014. C'est là que j'ai d'abord pris connaissance d'une preuve de concept provisoire de plateforme Drupal pour réunir la communauté en un point central. Je partage tout à fait la prémisse de José Brito, l'auteur de cette initiative, en ce que c'est le réseau des participants regroupés autour du CLOM qui importe. C'est ainsi qu'il propose un outil où chacun pourrait bloguer, discuter, cataloguer et développer. Un concept qui se présente très bien à première vue et qui vaut la peine d'être exploré à mon avis. Je vous propose de le tester pour alimenter José.
Michèle Drechsler y va pour sa part d'une proposition d'ateliers dans Cloudworks, ce qui nous ramène directement aux très riches contenus de sa semaine de cours, comme ici par exemple. Tout ceci m'a intrigué au point où j'ai voulu consulter le Framapad des notes prises durant la semaine 8. Passer de l'environnement structuré en quatre phases de Mme Drechsler au "bazar" de nos notes... Un bazar qui s'est tout de même avéré très riche.
Dans un premier temps, mon coup de cœur va certes au Flipboard de Brigitte Besnard! Elle en a fait une démonstration convaincante dans cet exemple, y réunissant toutes sortes de sources qui ont l'avantage de se présenter d'une manière aérée, plaisante et conviviale. Il revient alors à l'auteur (designer pour alimenter Michèle) d'y apporter sa propre logique de création - je ne sais pas encore à quel point facilement, ne l'ayant pas essayé - d'une ressource d'apprentissage tout à fait engageante.
C'est dans le Framapad que j'ai également trouvé un exemple pertinent à notre contexte, soit le travail de capitalisation réalisé par un groupe de participants engagés dans le CLOM Itypa pour en faire un survol axé sur l'essentiel. Cette approche m'intrigue car je considère qu'il nous faut absolument procéder de la même manière en vue de réunir en un point central toutes les contributions significatives de REL 2014, soit les REL réalisées par les participants qui viennent alimenter à la fois le sujet et sa banque de ressources.
Et tellement d'autres belles idées d'outils et d'organisation collective dans ces notes, depuis le mur Padlet jusqu'au Coin café en passant par le questionnaire de Bruno Tison sur FlossManuals, l'excellente analogie Bazar vs Cathédrale qu'un participant utilise pour décrire la différence entre les CLOM de type "C" et "X", et aussi nos GoogleDocs de prise de notes en rencontre synchrone.
Mon bémol au terme de cette revue de notre littérature:
Michèle Drechsler y va pour sa part d'une proposition d'ateliers dans Cloudworks, ce qui nous ramène directement aux très riches contenus de sa semaine de cours, comme ici par exemple. Tout ceci m'a intrigué au point où j'ai voulu consulter le Framapad des notes prises durant la semaine 8. Passer de l'environnement structuré en quatre phases de Mme Drechsler au "bazar" de nos notes... Un bazar qui s'est tout de même avéré très riche.
Dans un premier temps, mon coup de cœur va certes au Flipboard de Brigitte Besnard! Elle en a fait une démonstration convaincante dans cet exemple, y réunissant toutes sortes de sources qui ont l'avantage de se présenter d'une manière aérée, plaisante et conviviale. Il revient alors à l'auteur (designer pour alimenter Michèle) d'y apporter sa propre logique de création - je ne sais pas encore à quel point facilement, ne l'ayant pas essayé - d'une ressource d'apprentissage tout à fait engageante.
C'est dans le Framapad que j'ai également trouvé un exemple pertinent à notre contexte, soit le travail de capitalisation réalisé par un groupe de participants engagés dans le CLOM Itypa pour en faire un survol axé sur l'essentiel. Cette approche m'intrigue car je considère qu'il nous faut absolument procéder de la même manière en vue de réunir en un point central toutes les contributions significatives de REL 2014, soit les REL réalisées par les participants qui viennent alimenter à la fois le sujet et sa banque de ressources.
Et tellement d'autres belles idées d'outils et d'organisation collective dans ces notes, depuis le mur Padlet jusqu'au Coin café en passant par le questionnaire de Bruno Tison sur FlossManuals, l'excellente analogie Bazar vs Cathédrale qu'un participant utilise pour décrire la différence entre les CLOM de type "C" et "X", et aussi nos GoogleDocs de prise de notes en rencontre synchrone.
Mon bémol au terme de cette revue de notre littérature:
- Je crois qu'il serait contre-productif de nous engager dans une discussion d'outils à ce point-ci. Je préfère encore l'approche organique à ce sujet.
- Framapad nous a été bien utile et je m'en réjouis, mais pour ma part je trouve le résultat par trop brouillon (manque de lisibilité, manque de fonctions de mise en forme), et surtout l'infrastructure technique escomptée n'est pas au rendez-vous: pas de possibilités de versionnage et donc de préservation des copies antérieures comme dans un wiki par exemple (à moins que je ne me trompe?), et bris de la fonction d'exportation qui servirait à en protéger une instance (l'exportation aux formats PDF et Word ne semble pas fonctionner). Nous sommes donc à risque avec cet outil...
- Ce sera un défi que de réunir correctement toutes les ressources produites par les participants durant le cours.
Ce qui nous mène à la question-clé au terme de cette première prestation: comment garder vivante cette belle initiative (REL 2014) et comment faire avancer la cause des REL.
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